J’ai terminé la saga Wish, avec le dernier tome qui parle de Catori, la mère d’Evie et Suda Kaye. Je n’ai pas envie de vous spoiler la saga si vous ne l’avez pas encore lu, alors je me concentrerai sur l’histoire de Catori, sans vous en donner les détails. J’ai adoré les tomes 1 et 3 et moins aimé le deuxième, mais en général c’était de très bonnes lectures !

Je remercie les éditions Hugo New Romance pour l’envoi. J’ai découvert encore une femme forte dans ce quatrième tome et je dois dire que ça se lit tout seul ! L’histoire de Catori est prenante et touchante. J’ai vraiment été embarquée dans sa vie, dans son quotidien. Il y a des bonds dans le temps, qui ne m’ont pour une fois, pas du tout dérangée ! Au contraire, cela fait avancer l’histoire et on va à l’essentiel.

Dans la préface du roman, on apprend que ce tome n’était pas prévu à la base et qu’au final elle a eu beaucoup d’inspiration pour écrire ce quatrième tome. Et je pense qu’il apporte une magnifique touche finale à la saga. Il n’est pas “de trop” comme on pourrait le penser. Il est là pour nous éclairer sur les choix de Catori, et au final on la comprend mieux.

Catori est un personnage que j’ai adoré, je ne sais pas si c’est ma préférée des 4, mais je dirais qu’elle m’a beaucoup fait réfléchir et m’a donné envie de vivre mes rêves, de vivre à fond !

Je suis très heureuse d’avoir découvert cette saga grâce à Hugo New Romance. Je ne suis pas certaine que je l’aurais acheté en magasin, et pourtant j’ai passé de super moments de lectures. Dans ce tome, on en apprend encore plus sur les origines amérindiennes et ça change de toutes les autres lectures.

La romance dans ce tome est un peu particulière, étant donné qu’on a déjà beaucoup d’informations dans les 3 premiers tomes, mais finalement j’ai aimé la découvrir au fil des pages et la suivre. Catori et Adam sont des personnages fascinants et chacun possède ses propres caractéristiques différentes et un caractère bien défini. J’ai beaucoup aimer la manière dont l’auteure les fait vivre et interagir entres eux.

J’ai ressenti beaucoup d’émotions dans ce tome, notamment avec ses filles, mais aussi sur sa vie personnelle. Catori est une femme admirable et sa vie a été énormément remplie. Elle a vécu comme l’entendait et j’ai adoré la suivre à travers ses voyages et ses rencontres.

Wish est une saga que je vous conseille, surtout si vous avez envie de découvrir Audrey Carlan. Ce sont des lectures agréables et avec lesquelles on ne voit pas le temps passer. Je pense que vous adorerez vous retrouver au milieu de la famille de Catori !

Et vous, avez-vous lu cette saga ? Est-ce qu’elle vous donne envie ?

Résumé de Wish Tome 4 – Catori de Audrey Carlan

La soif d’aventure. C’est ce pour quoi j’ai vécu. Élevée dans une réserve amérindienne au cœur des États-Unis, je ne savais pas à quoi ressemblait le monde réel. Je n’étais pas comme les autres femmes de notre réserve. Ma mère et mon père le savaient quand je suis née. Ils m’ont appelée Catori, ce qui signifie “esprit” en comanche.
Mon père m’a regardée dans les yeux et a su que je n’étais pas faite pour la vie d’épouse et de mère. Je suis partie le jour de mes dix-huit ans. J’ai fait tout le chemin jusqu’à la côte Est où j’ai rencontré Adam. Le premier homme qui allait changer ma vie. Il m’a épousée et m’a donné une fille, mon Evie. Mon soleil d’or.
Adam et moi nous comprenions. Nous avons convenu de nous séparer librement et je suis partie pour aller découvrir le monde.
Ma fille entre les mains sûres de mes parents.
Jusqu’à ce que je rencontre Ian. Aussi sauvage que le vent, il m’a emportée. Il m’a donné une fille. Suda Kaye. Adam a accepté cet enfant comme le sien et nous avons décidé de nous aimer les uns les autres comme une famille.
Je suis repartie parcourir le monde, seules mes filles me faisaient revenir à la maison de temps à autre.
Dans un dernier effort pour être la mère qu’elles n’ont jamais eue,
j’ai écrit à mes filles. Une lettre chacune à ouvrir à partir de leur dix-huitième anniversaire, et ce pendant dix ans.
Aujourd’hui, je veille sur elles et je sais qu’elles le ressentent…