Hello Maloria, ton nouveau roman en auto-édition Gun Girl sort le 10 janvier, peux-tu nous le pitcher en quelques phrases ?
C’est l’histoire de Francesca qui a toujours aspiré à suivre les traces de son père, un parrain de la mafia italienne. Elle devient soldat au sein du clan et gravit les échelons petit à petit. Elle est éperdument amoureuse d’Alessandro, le fils du Consigliere de son père.
Elle n’ose rien lui dire parce qu’elle voit ses sentiments comme une faiblesse et surtout parce qu’elle pense qu’il ne les partage pas.
Alessandro décide de quitter la ville et le sécurité que lui apporte le statut de son père. Il part donc en pleine guerre des gangs, mais avant son départ, il veut révéler à Francesca qu’elle occupe toutes ses pensées.
Il lui fera la promesse de rentrer dès que sa présence ne sera plus nécessaire.
Seulement deux ans plus tard, il n’est toujours revenu alors que la guerre est terminée depuis longtemps.
Lorsque sa mère est renversée, il est bien décidé à la venger… mais il devra d’abord affronter la fureur de Francesca.
Qu’as-tu préféré dans l’écriture de Gun Girl ?
J’ai adoré retrouver l’univers du clan Alario et de la ville de Centori. Angela et Adriano, les parents de Francesca, m’avaient manqué. J’ai pris un grand plaisir à me replonger dans la mafia italienne au travers de cette famille que j’aime tant.
Si tu devais choisir un seul personnage de Gun Girl, lequel serait-il ?
Mon chevalier noir : Alessandro forcément ! Il est prêt à tout pour protéger Francesca, même si ça le tue à petit feu ou qu’il met en péril son intégrité et son honneur. Au fil de l’écriture, son côté sombre et obscur s’est imposé à moi. J’ai rarement eu autant de facilité à « communiquer » avec mon personnage masculin.
Comment décrirais-tu Francesca, l’héroïne de Gun Girl ?
Francesca est une combattante née. Elle aime la baston et mettre à terre les garçons pour leur prouver qu’une fille n’est pas forcément moins forte. Elle est très protectrice envers sa sœur Valentina et elle souhaite se montrer à la hauteur des attentes de son père. Derrière son côté dur et un peu froid, son cœur fond pour Alessandro et malgré tout le courage qu’elle a pour affronter des situations périlleuses, quand il est question de sentiments, c’est une grande trouillarde.
Tes lecteurs ont pu avoir un premier aperçu de Gun Girl dans ta newsletter (d’ailleurs, abonnez-vous, il y a plein d’exclu tous les lundis !)… Est-ce que la version définitive a beaucoup changé ?
Alors oui, il y a eu des changements. J’ai ajouté pas mal de moment « famille » car à la relecture, il est apparu que cet esprit familial italien n’était pas présent. Or, c’est un point très important pour l’univers de cette saga. On y croisera donc beaucoup plus Falco et Valentina que sur la version partagée via la newsletter.
Si on n’a pas lu Gun cake, pouvons-nous lire Gun Girl ? Est-ce qu’on va être spoilé ?
Oui, il est tout à fait possible de lire Gun Girl – Francesca, sans avoir lu Gun Cake. L’histoire des enfants d’Angela et Adriano est complètement indépendante. Après, il est fort probable que vous ayez envie de découvrir la romance des parents après la lecture de Francesca ????
Comment jongles-tu entre les romans que tu publies en auto-édition et les romans en maison d’édition ?
J’organise mon planning annuel en fonction de mes dates de publications via ma maison d’édition. Je sais à l’avance à quelle date je dois remettre un manuscrit à mon éditrice et je planifie mes envies d’écriture en fonction du temps dont je dispose.
Comment choisis-tu le fait qu’un de tes romans sera en auto-édition et non pas en maison d’édition ?
Mes histoires auto-éditées sont toujours plus sombres que les romans que j’écris pour ma maison d’édition. En auto-édition, je m’autorise à être un peu plus borderline car je sais que ce n’est pas le genre de récit que ma maison d’édition serait susceptible d’accepter.
Aurais-tu un conseil pour se lancer dans l’auto-édition ?
D’être prêt à travailler autant sur la communication que sur l’écriture de son roman. Une fois un manuscrit terminé, on se dit « ça y est, c’est fait, j’ai terminé ». Et en réalité, ce n’est qu’une étape qui est finie. Il y a un énorme travail encore à fournir pour faire connaître son livre.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
Un grand merci tout simplement de me suivre ou de me découvrir avec cette nouvelle sortie. J’espère que vous prendrez autant de plaisir que moi à retrouver le clan Alario. Et pour celles qui ne connaitraient pas encore mes mafieux italiens, je vous souhaite un bon voyage à Centori !
Merci beaucoup d’avoir pris le temps de répondre à mes questions. ❤
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