J’ai lu le roman Haute Alchimie de Marie Meyer, paru chez Cherry Publishing. Je remercie la maison d’édition pour l’envoi du roman. 

C’est l’histoire d’Alice, qui est auteure de livres pour enfants, elle va quitter son mec et se retrouver en montagne avec son chien et rencontrer un papa avec sa petite fille. Malheureusement, cette histoire ne m’a pas vraiment plu. J’ai été énormément dérangée par le style d’écriture que j’ai trouvé beaucoup trop parlé. 

Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, et je n’ai pas aimé le caractère d’Alice. En fait, c’est vraiment écrit comme elle pense, et du coup ça m’a manqué un peu de description et de matière pour vraiment aimer l’histoire. Il m’a manqué de profondeur dans l’histoire et d’approfondissement des personnages…

Ce n’est pas une romance de Noël, on est sur une romance à la montagne en hiver mais ça m’a manqué d’éléments pour entrer dans l’univers. 

J’ai eu beaucoup de mal à me repérer avec les prénoms, entre les chiens, les filles j’ai souvent du relire pour comprendre de qui on parlait . Je trouve qu’il y avait finalement que très peu de romance, je suis un peu déçue du fait que je n’ai pas ressenti d’émotions ni de sentiments entre les personnages… 

En ce qui concerne l’histoire, si vous aimez le style très parlé, ce roman pourra vous plaire parce qu’on est clairement dans la tête des personnages. Le point de vue s’alterne entre Alice et David, ce qui est vraiment cool ! Vous l’aurez compris je n’ai pas beaucoup aimé, mais peut-être que vous l’aimerez ! 

Et vous, l’avez-vous lu ? 

Résumé de Haute Alchimie de Marie Meyer

Moi, c’est Alice ! Pas la belle blonde au Pays des Merveilles, mais plutôt la petite brune au pays des biquettes. L’aventurière. Oui, oui, celle-là même qui s’est sauvée de chez elle un jour de Novembre (longue histoire), pour se retrouver perdue seule au milieu d’alpages. Enfin, presque…
J’étais avec Nina, mon chihuahua, quand nous avons croisé la route d’un Yeti Cro-Magnon.Bon, d’accord, c’était celle d’un border collie un peu trop tactile à mon goût et de son maître le berger grognon.
Laissez tomber l’archétype, celui-ci n’avait ni béret, ni canne, ni manteau en peau de mouton (même si, de vous à moi, cela aurait pu être très sexy sur lui).
Des étincelles entre nous ? Normal avec un rustre !
Une alchimie ? Sûrement pas !